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Année de parution :
2013
1 vol. (353 p.) : couv. ill. : 21 cm

Langue originale :
français
Section :
Le héros meurt à la fin. Il avait tout : le charme, la jeunesse, le pouvoir et l'argent. Les coups de feu qui éclatent le 22 novembre 1963, à Dallas, font entrer dans la mythologie du XXe siècle John Fitzgerald Kennedy, idole Technicolor de l'Amérique, paladin d'une épopée qui s'achève en roman noir. On sait depuis que celui qui changea la Maison Blanche en usine à rêves cachait un don Juan compulsif écumant les studios d'Hollywood.On sait que ce président à la dégaine d'acteur était un homme usé, livrant une lutte quotidienne contre la souffrance. On a tout dit sur son assassinat. Beaucoup moins sur l'homme complexe qui se cache derrière ce sourire de légende. Frédéric Martinez dessine le portrait subtil et nuancé d'une figure éclipsée par son mythe, incarnation d'une Amérique idéalisée où le sublime côtoie le sordide, où le pathétique le dispute au tragique.
Notes :
Note General : Bibliogr. p. 349-350. Notes bibliogr.